Nice en deuil
Réveillée, ce matin, au son du téléphone.
J'ai le cœur qui se serre. Un affreux attentat.
Un camion, dans la foule fauchant plusieurs personnes
Sur la Côte d'Azur. Le fait d'un apostat
Au coran dévoyé. Une indicible horreur.
La toile est alertée. Les messages postés
Recherchent des parents, des amis. La terreur
Cachée dans chaque mot. Ma plume, attristée,
A du mal, aujourd'hui, tant la folie des hommes
Me fait hurler de rage. Je hais les vendredis.
Pauvre petite fille… Cette photo m'assomme.
Ces jours me sont chagrins. Je vous l'ai déjà dit.
Nina Padilha © 15/07/2016
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