La nuit, Séléné…
La nuit bien courte, Séléné…
Debout très tôt : potron minet.
Au firmament brillait Orion.
Et l'appel strident d'un grillon
La nuit pénible, Séléné…
Et me voici, caféinée,
Parmi les plantes endormies.
L'aube s'esquisse à demi.
La nuit si trouble, Séléné…
Les ombres se sont acharnées.
Mais, libérée de ton emprise,
Ce soir la paix sera de mise.
Nina Padilha © 16/08/2019
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