Deuil impossible
Voilà, tu es partie. C'est un apaisement.
Mais chaque jour qui passe révèle ta noirceur
Tes calculs démoniaques, hypocrite "maman"
Dont le cœur se fardait d'apparente douceur.
Définitivement, tu as endommagé
Quatre générations, toute ta descendance.
Je ne pavoise pas mais je suis soulagée
Que la mort, in fine, ait fauché ton engeance.
Perverse narcissique, toxicité méchante,
Tes mensonges, aujourd'hui, libérés de ta langue,
Se décantent, hideux. Tu étais malveillante.
Reste là, pourriture, à moisir dans ta gangue.
Tu n'auras ni bouquet ni regrets éternels.
Pas même une homélie, une flamme ténue.
L'opprobre et la vindicte pour ton âme cruelle
Dans l'enfer qui t'attend. Tu l'as bien obtenu.
Nina Padilha © 13/01/2018
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