Dizain pour Ohnoz
RIP
Silence assourdissant dans ma vie, maintenant.
Les gamelles sont vides, les couffins désertés.
Ohnoz s'est endormi. Mon cœur est dévasté.
Mon gentil petit diable, sous un ciel menaçant,
A rejoint les étoiles au-delà des nuages.
Sa présence de manque : ses câlins ronronnants,
Ses miaulements plaintifs et ses instincts sauvages…
Là, il ne souffre plus. Malade, trop fragile.
Un départ conseillé Décision difficile.
Oui, on se reverra. Je t'aime tendrement.
Nina Padilha © 09/02/2018
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