Azur glacé
C'est un matin frileux grelottant au soleil.
Dans un azur glacé, ma plume se réveille.
Mon corps est engourdi.
Nous sommes vendredi.
Silence :
Je pense.
Mon café est brûlant, j'y trempe mon sommeil
Qui remise ses rêves décantés de la veille…
Des élans refroidis,
Des rimes enlaidies.
Immense
Carence.
Incapable d'écrire, j'écoute, d'une oreille,
Des musiques d'ailleurs… C'est chaque fois pareil :
La nostalgie grandit
Même si le midi
Nuance
Ma chance.
Nina Padilha © 07/12/2012
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