Avril, douceur vernale
Le jour s'esquisse à peine, au loin, sur l'horizon
Des palmiers englués dans la brume salée
Dégoulinent d'embruns. Les relents exhalés
D'un Marin moribond, fraichissent la saison.
Une brise furtive a frôlé la terrasse
Où somnolent encor' des bourgeons à foison.
Bientôt tout fleurira. Jamais je ne m'en lasse.
Doucement le soleil réveille les oiseaux.
Ses rayons printaniers réchauffent mes vieux os.
J'aime ce sud charmant où j'ai trouvé ma place.
Nina Padilha © 22/04/2015
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