Dans mon antre cosy
Le nez dans les nuages et les mains désœuvrées,
En relisant les vers que j'avais publiés,
J'ai retrouvé les rires des étés oubliés,
Quand le vent se moquait de ma voix enfiévrée.
Insouciance bénie des pubères années
Quand je ne savais pas les joutes à livrer !
Me voici aujourd'hui en Méditerranée ;
Ma plume épanouie dans mon antre cosy
Où mes jours et mes nuits, bercés de poésie,
Décantent des élans souriants ou navrés.
Nina Padilha © 04/12/2014
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