Gaïa refleurira
Ciel en panavision, au bord de ma terrasse.
Chaque jour, au soleil, c'est un café brûlant,
Qui secoue ma paresse sous l'œil des goélands
Tournoyant lentement dans cet azur qu'ils brassent.
Les matins sont frisquets, l'hiver sévit encore…
Les frimas, détestés, déplaisants et tenaces,
Narguent ma bonne humeur, font frissonner mon corps.
Mais je sais que Phébus, alternant les saisons,
Attisera, bientôt, ses feux à l'horizon.
Et des fleurs, à nouveau, orneront mon décor.
Nina Padilha © 24/01/2015
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