Troublante lunaison
Je la vois s'arrondir, augmenter en puissance,
Passant sur les collines qui dominent la plaine.
Souriant dans le ciel. Demain elle sera pleine.
Nacrée et scintillante, perturbant tous mes sens.
Je redoute toujours ses nombreux artifices.
L'impossible sommeil est une vraie souffrance.
Morphée se fait ma belle. Je suis au sacrifice.
Attendant le matin me délivrant enfin
D'une nuit chaotique ; son règne prenant fin.
Prochaine lunaison : les mêmes maléfices !
Nina Padilha © 25/11/2015
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