Novembre s'en viendra
Novembre se profile et l'horizon s'incline.
Les nuages, parfois, occultent le soleil.
Les matins retardés, engourdis de sommeil.
Des nappes de brouillard planent sur les collines.
L'univers, tout autour, n'est qu'absurde chaos.
De hideuses pensées me heurtent et me minent.
Je ne pourrai pas vivre en dehors de l'Hérault.
Lors je reste prostrée et, parfois, je m'ennuie
Entre silence et peur, enfermée dans mes nuits.
Ma Muse, quand je flanche, me tire vers le haut.
Nina Padilha © 11/10/2015
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