Ma terre en Gaïa
On ne m’a jamais dit tout ce que je découvre.
Que ma terre était plate mais Gaïa était ronde
Et ce n’est qu’un détail car mes yeux qui s’entrouvrent
Aperçoivent déjà tout un marais immonde.
Que d’horreurs, mes aïeux ! Jamais je n’aurais cru
Etre ainsi confrontée à tant d’écœurements.
Alors, comme un sursaut de mes élans accrus
J’ai fermé mon esprit à ces égarements.
J’avais besoin de beau, de couleurs, de gaité…
J’ai ouvert la fenêtre aux promesses d’été
Qu’Imbolc et Ostara préparent en secret.
Envie de poésie, de sourires et d’amour
Pour éclairer ma vie, illuminer mes jours
Et faire de mon cœur un jardin consacré.
Nina Padilha © 25/01/23
Retour aux articles de la catégorie Poésie -
⨯
Inscrivez-vous au blog
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 112 autres membres