Je pense à toi
Voilà qu'autour de moi, avec empressement,
Les gens offrent des fleurs, autre chose parfois.
En louant cette date, si heureuse autrefois
Quand la vie oubliait que nous étions amants.
Reposes-tu en paix sur ta terre natale ?
Ton fils s'est englué dans ses égarements.
Il est trop loin de moi, près de la capitale
Où il survit à peine. Et malgré tout son zèle
N'a pas encore compris que pour avoir des ailes.
Il ne faut pas couper ses racines vitales.
Nina Padilha © 14/02/2016
Retour aux articles de la catégorie Poésie -
⨯
Inscrivez-vous au blog
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 111 autres membres