Havre de paix
Je me suis préservée des hideurs de ce monde,
Tout ce qui me heurtait, qui attristait ma vie.
Éprise de lumière, cédant à mes envies,
J'ai fui la ville sombre où la nausée abonde.
En chevauchant le rêve de ma liberté,
Ma plume sur l'oreille, pour des rimes fécondes,
Dans un cocon tranquille je me suis abritée.
En suivant le soleil près des murs de basalte
Léchés par les embruns, sous la voûte cobalt.
C'est mon havre de paix pour ma sérénité.
Nina Padilha © 25/10/2014
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