Texte bizarre
Les hommes sont des solitudes.
Butant sur les carreaux de leurs illusions
Comme des mouches ivres, idéalistes et vains,
Hésitant dans leurs pas tourmentés.
Jaloux, éprouvés, maltraités…
Leurs mots, dédicaces sanglantes.
Les silences absents, hantés de rires fous.
Les tabous récurrents aux aveugles desseins,
Des excès improbables aux contours évidents…
Inébranlables certitudes autour des mots oubliés
Entre les pages d'un livre étouffé par le manque
D'une étrange plume hallucinée.
Les humains sont des solitudes fossiles
Vomissant leurs cassures.
Fragiles libertés enchaînées aux possibles
Que bordent des bontés efficaces et sublimes.
Frustrations équivoques toutes bleues de rancœurs.
Mystifiant des renaissances intolérables.
Parallèles sacrés d'éloges ensoleillés…
C'était la nuit du 2 au 3 décembre 2010.
Un texte quasi automatique.
Un flux étonnant, inquiétant…
Que je n'ai pas compris.
J'y ai repensé, cette nuit, et je ne comprends toujours pas.
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