Que ma joie demeure
J'ai gommé mes douleurs, terribles par moments,
Un passé révolu, compliqué de tourments.
Et je me suis posée, près des tièdes écumes,
Pour la sérénité de mes années anthumes.
Me voici dégagée, libérée des emprises
Qui entravaient mes pas. Maintenant c'est la brise
Qui berce mes poèmes dans un ciel azuré.
Ici, le temps est chaud, tranquille, mesuré.
Au soleil du midi, où danse mon calame,
Je colore mes rêves et je lave mon âme.
Brûlures du soleil, légèreté des heures,
Une paix infinie pour que ma joie demeure.
Nina Padilha © 06/08/2012
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