Évidure
Le vent, un souffle chaud. Le soleil est brûlant.
Dans l'azur absolu. S'émeut le thermomètre.
J'ai les volets baissés mais j'ouvre les fenêtres.
Dans la pénombre brune je secoue mon allant.
Mes rimes envolées me donnent la migraine
Mes photos souvenirs, perdues. C'est désolant.
Venue me consoler, la Muse souveraine,
S'empare de mon âme pleurant son évidure.
Que vive la beauté et que ma joie perdure
Tant qu'osera, ma plume, des poésies sereines.
Nina Padilha © 20/07/2015
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