En allant vers le Grau
Je distingue déjà les dentelles d'albâtre
Coiffant l'onde légère aux clapotis charmants.
Les jetées de basalte, les phares… Soudainement,
Mon cœur, bouleversé, ému, cesse de battre.
Pourtant je la connais, cette carte postale.
Ma plume s'extasie, une rime puis quatre…
J'embrasse, du regard, l'horizon idéal ;
Je marche sur le sable serti de coquillages ;
Les goélands s'envolent, tutoyant les nuages.
Ma Méditerranée, nécessaire, vitale.
Nina Padilha © 08/02/2015
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