Crépuscule d'or
Crédit photo © Georges Fontaine
C'était juste une pause, une mise en sourdine
Tout près des vagues bleues de la mer qui se donne.
Un silence majeur, une paix qui m'étonne,
Loin de l'agitation, des fièvres citadines.
Le vent, bouffi d'embruns, dessinait sur le sable
Des signes côtoyant les runes anodines
Des goélands lassés de leurs vols admirables.
L'horizon, éclatant de lumière vernale,
Attirait le soleil dans l'extase finale
D'un crépuscule d'or aux feux incomparables
!"Nina Padilha © 27/02/2015
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